Des espèces endémiques habitent les aires protégées à Cuba


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Cartacuba ou Pedorrera (Todus multicolor) Photo: Ramón Barreras Valdés
L’un d’eux est la réserve écologique de Lomas de Banao, dans la municipalité de Sancti Spiritus, une zone d’importance nationale en raison du haut degré de conservation où d’importantes populations de faune trouvent refuge, se démarquant parmi eux les perroquets et cateyes.

Le refuge de faune Tunas de Zaza (Sancti Spíritus), les réserves floristiques gérées de Lebrije (Jatibonico) et Lomas de Fomento, dans la municipalité homonyme, ainsi que la zone protégée de ressources gérées Jobo Rosado (Yaguajay), sont gérés par ladite société. .

Ce dernier abrite 399 espèces de faune et plus de 400 de flore, dont beaucoup sont endémiques ou avec un certain degré de menace, en plus d’avoir une zone à usage public où les sentiers situés à Rancho Querete (Cueva de Valdés et Genaro).

À Rancho Querete se trouve le site archéologique de María Goya, qui, selon les spécialistes, appartient au mésolithique cubain, ce qui démontre l’existence de populations aborigènes dans la région.

Les aires protégées de Lebrije et de Fomento se distinguent par l’exposition de Melocactus guitartii, une espèce endémique de la province, communément appelée oursin.

La nation insulaire compte à ce jour un total de 215 aires protégées, dont 79 sont d’importance nationale et 136 d’importance locale.

De même, la plus grande des Antilles compte six réserves de biosphère (Guanahacabibes, Sierra del Rosario, Ciénaga de Zapata, Buenavista, Baconao et Cuchillas del Toa).

La réserve de biosphère de Buenavista couvre des zones des territoires centraux de Sancti Spíritus, Villa Clara et Ciego de Ávila.

Le parc national de Caguanes, au nord de Yaguajay, est une zone protégée qui fait partie de la baie de Buenavista.

Cuba a célébré le 12 avril la Journée des aires protégées.

PL

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